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Germain Debré et l'école de la rue Clauzel

© Marc Verdure - 2015 © 9e Histoire - 2015


L'INTERVENTION DE L'ARCHITECTE GERMAIN DEBRÉ
DANS L'ÉCOLE DE LA RUE CLAUZEL DANS LES ANNÉES 1930:

SOUVENIR D'UN DÉCOR PEINT DISPARU.


 


Confrontée à la nécessité d’améliorer l’équipement scolaire, à la fois en quantité et en qualité, et aiguillonnée par la crise économique qui fait apparaître le chômage de masse et favorise la solution des grands travaux, la Ville de Paris mène de front plusieurs chantiers de construction et de réhabilitation d’écoles et de groupes scolaires au début des années 1930[1]. Si le développement démographique de Paris reste assez stable au cours des années 1920 et 1930 (autour de 2,9 millions d’habitants en 1921 et 2,7 millions en 1945), c’est surtout l’évolution des méthodes pédagogiques et la nécessité d’adapter les équipements qui imposent la construction d’écoles, en temps voulu, pour faire face au besoin d’instruction de la population.

Sans être aussi hardie dans ses options architecturales que certaines communes de banlieue (Suresnes, Alfortville, etc.), elle expérimente toutefois, à l’occasion de ces chantiers, le principe de la commande artistique monumentale, de façon assez novatrice en raison du caractère quasi systématique de ce parti-pris. Toutes les techniques sont concernées : peinture murale (toile marouflée, fresque), sculpture, mosaïques, métallerie (bronze, fer forgé). Le goût pour le décor monumental et pour sa signification aux yeux du public, réel parmi les édiles parisiens, apparaît ici tout à fait nouveau et anticipe les expositions du groupe « Art Mural » (à partir de 1935) ou encore les commandes du Front populaire, notamment pour le Palais du Trocadéro lors de l’Exposition Internationale de 1937[2].
 


LE CRÉDIT DES 10 MILLIONS, UNE RÉPONSE A LA CRISE? 

Ecole rue Beauregard.jpgAprès quelques expériences assez probantes dans les années 1920 guidées par le peintre fresquiste Paul Baudouïn (1844-1931), comme par exemple dans le préau de l’école de Beauregard (2e arrondissement), une dizaine de groupes scolaires sont ainsi construits ou réaménagés en deux ans, entre 1932 et 1934, et des décors leur sont adjoints grâce à un emprunt exceptionnel de 10 millions de francs, selon un programme systématique aujourd’hui bien documenté[3]. Un bilan détaillé figure dans le compte-rendu des débats en Conseil municipal du 26 novembre 1934, mais plusieurs cartons aux Archives de Paris permettent de suivre assez fidèlement les prises de décisions et l’avancée des travaux[4].
Votée le 21 mars 1932 par le Conseil municipal, une demande d’autorisation d’emprunt de 40 millions de francs fait suite à un rapport de l’administration du 16 mars auquel est annexé un programme de travaux élaboré par la Direction des Beaux-arts et la Direction des Services d’Architecture et des Promenades. Sans attendre la réponse du gouvernement, le Conseil municipal décide la composition d’une sous-commission dite « Commission d’aide à l’artisanat et aux artistes » composée de dix-sept élus, qui effectue la répartition des commandes selon le principe du concours restreint et qui se réunit pour la première fois dès le 23 avril 1932. Le Conseil d’État autorise finalement l’emprunt à hauteur de 10 millions de francs, le décret du Président de la République étant daté du 15 octobre 1932.

M. Baer Austin Les Fables de la Fontaine préau de l'école située rue de Beauregard, vers 1930 © M. Verdure

De nombreuses associations et sociétés d’artistes sont sollicitées dans le cadre d’une mise en concurrence, parfois interne même à l’association. Mais l’administration s’adresse essentiellement aux artistes qu’elle connaît déjà, probablement à la faveur d’acquisitions lors des Salons. La Ville s’engage, lors de sa présélection, à tenir compte du talent et de la situation matérielle de l’artiste : seront notamment exclus les salariés, titulaires d’enseignements ou de charges rémunératrices, pour privilégier les artistes compétents et « nécessiteux ».

La Commission exige par ailleurs que, dès le lancement du concours, les artistes concurrents entrent en relation avec l’architecte d’opération, « de façon à harmoniser la décoration picturale avec l’architecture » (réunion du 12 avril 1933). Les écoles étant pour la plupart à peine achevées ou encore en cours de construction, il est d’ailleurs facile de consulter l’architecte pour obtenir plans, croquis ou encore souhaits de collaborations artistiques. Le lien avec l’édifice est de toute façon consolidé avec la présence, au sein de la Commission, de l’architecte d’opération qui restera en relation avec l’artiste lauréat. Il arrive aussi que les écoles fassent seulement l’objet d’un programme de décoration, sans recours à un architecte, comme par exemple sur le chantier de l’école rue Simon-Bolivar (19e arrondissement).

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Jean Marchand Le Travail  préau de l'école Simon-Bolivar 75019 -1933-1934 © M. Verdure
 


LE CHOIX DES ARCHITECTES 

Les projets sont confiés, en premier lieu, aux architectes de la Ville de Paris et du Département de la Seine, comme André Berry (1869-1960), architecte-voyer, auteur de l’école de la rue Saint-Martin. Ce mode de recrutement n’empêche pas l’emploi de personnalités extérieures, comme Louis-Hippolyte Boileau, Germain Debré, Roger-Henri Expert[5], Victor-Abel Mahieu, Albert Alexandre Melissent ou Pierre Winter. Si les architectes d’opération ainsi nommés travaillent sur un avant-projet défini par le Bureau Central d’Études de la Direction des Services d’Architecture et des Promenades qui fixe notamment une enveloppe budgétaire, ils ont toutefois le loisir de modifier tout ou partie de ce programme, avant examen et validation par les élus et le Bureau Central. On notera au passage que la diversité des personnalités recrutées explique peut-être le « modernisme tempéré » qui régit la construction scolaire parisienne, entre modernité formelle et technique et distribution traditionnelle[6].

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Jean Julien Les Travaux des Champs, préau de l'école de la rue St Martin (75003)  © M. Verdure

Les travaux de l’école de la rue Clauzel sont confiés à Germain Debré (1890-1948), fils de Simon Debré, grand rabbin de la synagogue de Neuilly, et aussi un des frères du médecin Robert Debré. Il est diplômé l’École des Beaux-arts de Paris en 1920 et il construit dès 1924 la première école de plein air en France, à Saint-Quentin (Aisne). S’il est surtout connu dans le domaine du renouveau de l'architecture religieuse israélite : synagogues à Belleville (1925-1933), à La Varenne-Saint-Hilaire (1935) et rue Saint-Isaure à Paris 18e (1937-1938), il réhabilite aussi, en tant qu'architecte des bâtiments publics et palais nationaux, plusieurs établissements scolaires dans le respect des règles de l’hygiénisme (1934-1946). Si le style de certaines œuvres de Germain Debré est contraint par le goût de ses commanditaires, il est, dans l'ensemble, largement dominé par le modernisme international, avec une préférence marquée pour l'architecture néerlandaise ou allemande des années 1920.
 


L'ARCHITECTURE DE L'ÉCOLE DE FILLES DE LA RUE CLAUZEL 

La première école de la rue Clauzel est construite par Jean-Charles Alphand (1817-1891) en 1885. L’intervention de Germain Debré en 1932-1933 est « un bon exemple des opérations que la ville de Paris, dans un souci d’économie, a réalisées pour quelques anciens établissements d’enseignement dont la reconstruction a ainsi pu être évitée »[7]. Le bâtiment mêle plusieurs usages : il est utilisé par l’école maternelle (rez-de-chaussée et 1er étage), par la chambre syndicale de la fourrure qui organise des formations professionnelles (2e étage) et par des appartements (3e et 4e étages). En ce qui concerne l’école, l’hygiène y est limitée (un seul groupe de W.-C. dans la cour), les classes mal éclairées, mal chauffées et peu aérées, le tout situé derrière une façade triste.

Le cahier des charges se définit ainsi : « créer, dans la hauteur du rez-de-chaussée et du premier étage, une école maternelle suivant les dernières prescriptions de l’hygiène scolaire, les derniers étages conservant leurs locataires et leurs dispositions actuelles »[8]. En bref, il s’agit de faire un gîte clair, hygiénique, gai et agréable pour les petits. Quatre nécessités s’imposent immédiatement à Debré : distinguer l’école maternelle des locaux affectés aux cours professionnels et aux appartements en construisant un escalier spécifique aux élèves de l’école ; agrandir les fenêtres au maximum ; en raison de la multiplicité des services, utiliser une partie de la cour, la mieux ensoleillée, pour donner à l’ensemble le développement nécessaire ; créer dans le sous-sol, sous toute la surface de l’édifice, un espace réservé à la chaufferie.

L’architecte résout les questions d’hygiène en installant un lavabo à double face, un réfectoire avec petite cuisine, un cabinet médical avec pièce « d’isolement » et cabines de douche ; il élabore ensuite des espaces clairs, confortables et agréables pour les enfants en créant une salle de repos associée à la classe de petite section, en agrandissant toutes les baies sur rue et sur cour, en vitrant toutes les cloisons intérieures à partir d’un mètre cinquante au-dessus du sol, en supprimant et arrondissant tous les angles des murs, en aménageant des sols en granito ou en caoutchouc et enfin en installant un chauffage central. Pour la cohérence des usages, enfin, un nouvel escalier desservant exclusivement les classes du 1er étage.

Le résultat de ce chantier de réhabilitation est jugé, par les contemporains et les spécialistes, très concluant. L’article de la revue La Médecine scolaire, déjà cité, salue une « rénovation d’une école auparavant maussade, qui peut être considérée maintenant comme une école modèle ». La presse ne manque pas de décrire les nouveaux locaux et anticipe l’avenir[9] : « quand on ne crée pas l’immeuble de toutes pièces on le modernise. On le reprend pour le doter de tout ce qu’il faut aux plantes : de l’air, de la lumière, du soleil – et de l’eau (…). Clarté accueillante, mobilier avenant. Une frise décorative, qui sera exécutée par MM. Avelot et André Hellé, la rendra plus aimable encore ».

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UN PROJET DE DÉCORATION 

Les archives attestent que l’école de la rue Clauzel figure parmi les premiers édifices listés dans le programme de décoration remis en mars 1932 à l’appui de la demande d’emprunt. Plusieurs esquisses signées et datées de Germain Debré, conservées dans le fonds Debré de l’Institut Français d’Architecture[10], permettent d’évoquer partiellement la réflexion de l’architecte pour définir l’implantation de ce décor. En effet, une première esquisse très sommaire, datée du 25 novembre 1932, montre qu’une bonne partie du mur aveugle séparant le préau du vestibule pourrait porter un décor, à la thématique toutefois indéchiffrable. Une seconde esquisse, très aboutie et signée du 5 décembre 1932, place la frise décorative en partie haute de ce mur et des trumeaux des fenêtres, sous l’angle du plafond : là, des jouets sont clairement distinguables[11]. L’administration parisienne ayant l’habitude d’imposer les sujets aux architectes et aux artistes, il est fort probable que la consigne ait été transmise à Debré à cette période.

Le 12 avril 1933, le Directeur des Beaux-arts apporte à la Commission le projet abouti depuis décembre 1932 : la commission remarque que « le sujet choisi, Les jouets, peut être très intéressant à condition d’y mêler les enfants. » Deux spécialistes du jeu, de l’humour et de la conception de jouets sont invités peu après à proposer des esquisses : Henri Avelot[12] (1873-1935) et André Hellé[13] (1871-1945).

Toutefois, le concours ne donne pas lieu à sélection car les deux projets sont retenus le 29 juin et l’arrêté du 6 août 1933 charge les deux artistes conjointement de la commande ; la technique choisie est la peinture sur toile marouflée et les dimensions sont les suivantes : 20 mètres de long sur 80 cm de large, soit 16 m² ; logiquement, selon le tarif établi par la commission du « crédit des 10 millions » (750 francs le m²), le prix proposé devrait être de 12 000 francs pour l’ensemble mais les artistes semblent avoir négocié un arrangement plus favorable, chacun empochant la somme de 12 000 francs, chiffrant ainsi l’opération à 24 000 francs. Le délai est de cinq mois, et les deux lauréats s’entourent de collaborateurs : Maurice Marque, Melle Chambon, Ch. Jedry, Roger Mallard.

Le décor a disparu probablement dans les années 1970, et les photographies présentes dans le fonds Germain Debré ne montrent pas les peintures en place car elles sont prises peu après la fin des travaux[14]. Des esquisses des décors subsistent néanmoins, conservées chez les héritiers d’André Hellé, et consultables en ligne[15].

 

LA DIMENSION SOCIALE DE L'ART 

L’art monumental de l’entre-deux-guerres est généralement considéré comme une forme de prosélytisme de l’action sociale : le recours à l’art mural est, à cette époque, considéré comme le moyen de s’adresser au plus grand nombre, d’éveiller et développer la conscience collective tout en participant à l’essor économique de la nation. Le projet du « crédit des 10 millions » illustre pleinement cette stratégie, en sollicitant à la fois un grand nombre d’artistes et d’artisans, en incluant une dimension sociale (voire de bienfaisance puisqu’il s’agit de cibler les personnes « dans le besoin ») et en prêtant attention aux attentes du public. Afin de ne mécontenter personne et de ne valoriser aucun courant officiel, la Ville de Paris (tout comme l’État en 1937 pour l’Exposition Internationale) s’interdit en effet de privilégier le moindre courant artistique : il est impossible de dégager, à partir de la liste des lauréats des concours de 1933-1934, des groupes stylistiques, des influences ou une idéologie dominante. Les artistes sont certes majoritairement issus des instituts officiels de formation (École des Beaux-arts notamment) et se présentent régulièrement aux Salons, mais ils sont aussi issus de certains circuits plus inattendus, comme les deux illustrateurs choisis pour le décor de l’école rue Clauzel.

Le projet du « crédit des 10 millions » est également un moment de débats sur la fonction et le statut esthétique du décor scolaire. Si l’on ignore la teneur de ceux qui ont présidé au choix du thème et des artistes pour l’école située rue Clauzel, il faut remarquer que les élus ont opté pour un peintre décorateur et un illustrateur, deux catégories de peintres misant non sur l’esthétique mais sur un art plus accessible et proche du public. Les comptes-rendus des séances de la commission rapportent un échange de vues autour du décor de l’école boulevard Davout qui pourrait être rapproché de celui qui nous intéresse[16] : alors que le conseiller municipal du quartier soutient que « ce n’est pas ce qui est beau qui plaît, mais c’est ce qui plaît qui est beau », au contraire le Directeur des Beaux-arts affirme que son rôle « est d’éduquer le goût des enfants, et non pas de nous conformer au leur ». L’élu l’emporte finalement, grâce à l’appui de l’architecte d’opération, en soulignant au passage que « pour éduquer les enfants, il faut d’abord les intéresser, et le projet dont nous parlons paraît répondre à ces desiderata » et puis aussi que « si on se plaint, ce n’est pas vous [l’administration] qui serez ennuyé, ce seront les conseillers ».

L’idée de la décoration comme épanouissement de l’enfant et développement du souci du beau fait peu à peu son chemin, comme en témoigne un article paru en 1938 dans L’Architecture d’aujourd’hui : « il faut que l’école serve à élever le niveau moral des masses, qu’elle serve à enseigner le beau et le respect du beau (…). Est-ce un luxe que de développer l’hygiène, l’air, les plantations, le souci du beau ? »[17].

L’étude du décor de l’école rue Clauzel permet d’évoquer une période peu connue de l’histoire de l’art à Paris, faute d’intérêt pour les sources pourtant nombreuses mais aussi faute de témoins encore en place. Même s’il reste quelques réalisations spectaculaires, comme le groupe scolaire rue Küss, inscrit au titre des monuments historiques, beaucoup des œuvres réalisées dans les années 1930 pour les écoles de Paris ont disparu, victimes des remises aux normes des bâtiments, des aléas de la conservation in situ et de l’indifférence des utilisateurs et gestionnaires. Même s’il faut rappeler que la vocation première des écoles n’est pas d’abriter des œuvres d’arts mais d’assurer l’éducation et la sécurité des enfants, il s’avère important de rappeler combien précieuses pour la pédagogie et combien utiles pour l’histoire des mentalités et l’histoire de l’art sont ces œuvres : cette modeste publication espère y avoir contribué.
 

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Myrthée Baillon de Wailly, Les Quatre Saisons, vue avant restauration,
préau du groupe scolaire rue Küss (75013) 

© M. Verdure


Marc VERDURE
Conservateur du patrimoine
 


© Marc Verdure - 2015 © 9e Histoire - 2015

 

[1]  CHATELET, Anne-Marie (dir.), Paris à l’école, « qui a eu cette idée folle...», Paris : Éditions du Pavillon de l’Arsenal, Picard, 1993.

[2] Le Front Populaire et l’art moderne. Hommage à Jean Zay, catalogue d’exposition, musée des beaux-arts d’Orléans, Orléans, 1995.

[3] Pour l’analyse circonstanciée de ce projet, nous nous permettons de renvoyer le lecteur à notre article récent : VERDURE, Marc, « Paris au pied du mur. « Crédit des 10 millions », décoration murale et crise économique dans les années 1930 », dans In Situ, 22-2013, mis en ligne le 15 novembre 2013.

[4] Bilan réalisé dans une intervention de Georges Contenot, Bulletin Municipal Officiel, 1934, p. 4226-4228. Les Archives de Paris conservent de nombreux cartons sur « l’emprunt des 10 millions » : 1) VR 589 et 591 pour les réunions de la Commission d’aide à l’artisanat et aux artistes (1932-1934), le 1er carton comportant en outre des documents sur la constitution et l’organisation de ladite commission ; 2) VR 594 pour les dossiers concernant les projets scolaires ; 3) VR 588 pour des propositions ou des bilans sous forme de tableaux, notes administratives, rapports présentés en commission, et pour un livre de comptes général.

[5] Expert réalise le groupe scolaire de la rue Küss (13e arrondissement), seule école protégée au titre des Monuments historiques.

[6] RUBIO, Marian, « L’élan brisé d’une nouvelle architecture scolaire ». Dans CHATELET, op. cit., p. 142-152.

[7] GRANDJEAN, Maurice, « Les bâtiments scolaires du département de la Seine (1). III. Comment on rénove une école », dans La Médecine scolaire, tome XXII n° 6, 1933, p. 134-138.

[8] Dossier 013 Ifa  110/12, 2 mai 1933.

[9] Article paru dans L’Excelsior, lundi 17 juillet 1933.

[10] Dossier 13 Ifa 26.

[11] Le projet présenté aux élus parisiens illustre cette proposition, en couleur. Cote Archives de Paris VR 594.

[12] Peintre et dessinateur humoriste. Il expose aux Salons de la Société nationale des beaux-arts, aux Salons des Artistes Français et aux Salons des Humoristes. Il est président de la République de Montmartre de 1931 à 1934 et est l'inventeur du « calembour graphique ».

[13] Peintre décorateur, illustrateur et créateur de jouets. Il crée des modèles de jouets en bois à partir de 1910 et reçoit une médaille d'or et un diplôme d'honneur de la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie.

[14] Dossier 13 Ifa 103/3.

[16] VERDURE, op.cit.

[17] HUMMEL, Roger, « L’évolution scolaire en France », dans L’Architecture d’aujourd’hui, 1938, n° 8, p. 3-4.


Date de création : 28/04/2015 • 12:00
Catégorie : - Articles-Architecture
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