Spectacle LISTZ  le 10 octobre a la mairie du 9éme arrondissement

inscription pour les deux séances

https://mairie09.paris.fr/pages/liszt-dans-le-9e-les-annees-capitales-32568

Vendredi 3 octobre à 14h30

 

De la Cité Bergère à l’Hôtel Bony

Visite sous la conduite d’Emmanuel Fouquet et d’Hélène Tannenbaum

de 9^ème Histoire

 L’Hôtel Bony côté rue de Trévise © E. Fouquet

La visite débutera Cité Bergère créée en 1827, dotée de ses belles marquises à l’entrée de ses nombreux hôtels. Après avoir évoqué la présence du Palace (fermé actuellement) rue du Faubourg-Montmartre, nous ferons un arrêt devant le Bouillon Chartier datant de 1896, premier d’une longue série de bouillons puis devant le théâtre du Nord-Ouest. Rue de Trévise on passera devant l’UCJG, première YMCA française créée en 1893 (en cours de rénovation) puis des Folies Bergère. Enfin, la visite du secret hôtel particulier construit en 1826 pour le spéculateur René Bony au 32 de la rue, permettra à l’occasion de sa restauration récente d’admirer à la fois ce bel exemple de néo-classicisme à la mode lors de la Restauration classé MH et ses dernières transformations effectuées.*

Rendez-vous : 14h15, Cité Bergère (côté rue du Faubourg-Montmartre)

IMPORTANT : Le groupe étant limité à 25  personnes, merci de bien vouloir vous inscrire exclusivement

vendredi 26 septembre de 8h à 10h auprès de Jean-Charles Boutillon : jc.boutillon@orange.fr ou au 06 75 13 35 12,

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Vendredi 10 octobre

Deux représentations à 17h ou 20h30

Franz Liszt dans le 9^e, les années capitales

(1823-1837)

Spectacle historique et musical conçu par Elisabeth Commelin, comédienne

et Didier Chagnas, 9^ème Histoire et Sur les pas de Liszt

Franz Liszt en 1832 Par Achille Deveria © Paris Musées

Le spectacle évoque les années parisiennes de Franz Liszt dans l’actuel 9^e arrondissement, depuis l’arrivée à Paris du pianiste avec son père en 1823 à l’âge de 12 ans jusqu'à la consécration par le public parisien qui l’adulait au point de dire « Liszt est le seul ! ».

Ce sont des années capitales à la fois sur le plan, musical, artistique, politique, amoureux et spiri-tuel, ponctuées de rencontres décisives notamment avec Berlioz, Chopin, Marie d'Agoult, George Sand , Victor Hugo, qui ont contribué à faire de Liszt l’un des chefs de file du romantisme.

Lieu : Salle Rossini de la mairie du 9^e, 17h ou 20h30.

Important : un quota de places étant réservé aux membres de l’association, merci de bien vouloir vous inscrire exclusivement

pour l’une ou l’autre des représentations jeudi 2 octobre de 8h à 10h auprès de Jean-Charles Boutillon : jc.boutillon@orange.fr ou au 06 75 13 35 12,

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Jeudi 13 novembre à 18h30

Berthe Weill (1865-1951), une galeriste du 9^e

Conférence de Marianne Le Morvan, docteure en histoire de l’art

Plaque du 25, rue Victor Massé © H. Tannenbaum

Berthe Weill, galeriste longtemps méconnue fait l’objet d’une exposition au Musée de l’Orangerie (après New York et Montréal). Elle contribua à la révélation de nombreux artistes inconnus (Picasso, Matisse, Modigliani…) et de femmes artistes (Emilie Charmy, Jacqueline Marval, Suzanne Valadon…). Elle eut trois galeries dans le 9e arrondissement : rue Victor Massé, rue Taitbout (où son exposition de nus de Modigliani fit scandale) et rue Laffitte. Elle dut suspendre ses activités lors de la Seconde Guerre mondiale en raison de ses origines juives et connut de graves difficultés financières mais fut soutenue par les artistes qu’elle avait fait connaître désormais devenus célèbres.

Lieu : Salle du Conseil de la mairie du 9^e, 18h30.

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Mercredi 19 novembre à 18h30

Le lycée Jules-Ferry

et la Seconde Guerre mondiale

Conférence de Pierre Porcher-Ancelle, docteur en histoire

Journal L’Excelsior, 17 octobre 1939 © BNF

Sur la place de Clichy s'élève depuis 1913, à la place d’un ancien couvent, le lycée Jules-Ferry, septième lycée parisien de jeunes filles, où dans les années vingt et trente, avec la gratuité des études secondaires les lycéennes accèdent au baccalauréat. Dès 1940, plusieurs professeures entrent dans la Résistance, parfois suivies par des élèves. Certaines de confession juive sont victimes des persécutions antisémites voulues et organisées par le régime de Vichy et l'occupant nazi. D'autres femmes ont des prises de position plus troubles, qui leur valent un passage en épuration. Cette conférence propose donc une histoire de la mémoire de la guerre au lycée Jules-Ferry, alors qu'un monument aux déportées et aux résistantes sera inauguré au lycée ce même mois.

        Lieu : Salle du Conseil de la mairie du 9^e, 18h30.

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Mercredi 3 décembre à 18h30

Georges Eugène Haussmann, le préfet impérial

Conférence de Michelle Brieuc, conférencière et romancière

Le baron Haussmann en 1860 © BNF

Napoléon III, fasciné par les travaux engagés par Haussmann à Bordeaux, le nomme à la préfecture de la Seine en 1853, avec pour mission d’aérer, unifier et embellir la ville. Si 40 000 immeubles sont construits, presque autant sont détruits ce qui conduit à la disparition quasi-complète de la ville médiévale, à l'exception des églises. La brutale métamorphose de Paris sous le Second Empire a frappé l’opinion nationale et internationale. L’œuvre du préfet Haussmann, réalisée durant 17 ans jusqu’en 1870, montre la volonté d’édifier un ensemble urbanistique cohérent, l’importance accordée aux équipements collectifs et un désir de gentrification de la ville. Il a largement contribué à faire de Paris la ville que nous connaissons aujourd’hui.

Lieu : Salle du Conseil de la mairie du 9^e, 18h30.

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Jeudi 11 décembre à 14h30

L’église Notre-Dame-de-Lorette

et ses dernières restaurations

Visite sous la conduite de Pauline Duée, conservatrice en chef du patrimoine de la ville de Paris (COARC)

Chapelle des Âmes du Purgatoire : l’Ange musicien restauré © Stéphane Guy

En 1830, quatre sculpteurs, Lebeuf-Nanteuil (l’Hommage à la Vierge du fronton), Laitié (la Charité), Foyatier (la Foi) et Lemaire (l’Espérance) se voient confier l’ornement de la façade de Notre-Dame-de-Lorette. Cette visite sera d’ailleurs l’occasion de replacer ces œuvres dans le contexte plus large de la sculpture parisienne et de partager les questionnements qui ont émaillé leur restauration. La Ville commande ensuite les peintures murales des chapelles et en 1836 Blondel débute celle des Âmes du Purgatoire (détériorée pendant la guerre 39-45 par de graves infiltrations) et dont la restauration juste achevée révèle le talent de celui-ci dans l’expression des passions. C‘est ce travail que les restaurateurs évoqueront pour rendre à ce décor son homogénéité.

Rendez-vous : 14h15  Parvis de l’église, rue de Châteaudun

IMPORTANT : Le groupe étant limité à 30 personnes, merci de bien vouloir vous inscrire exclusivement jeudi 4 décembre de 8h à 10h

auprès de Jean-Charles Boutillon : jc.boutillon@orange.fr ou au 06 75 13 35 12

 

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